'i'm the greatest individual that i have ever met."

je me suis trompée. la vraie phrase est en effet: i'm the bravest individual i have ever met."

c'est un style si j'ose dire.il y en a qui aime (é)cri(e)r(e) comme ça.

"ah, pourquoi vous écrivez tout en minuscule?". " il n'y a pas que moi qui écrits comme ça, il y a skorecki aussi."

( mais dis donc, c'est un petit peu trop lourd (pour l'affichage) son blog? je voulais lire attentivement, mais même avec ce fameux google chrome, cet ordu ( de mon ami) pète, et ça ne permet pas d's'afficher totalement certains pages! il faut avoir le fibre opitique pour le lire il me semble......dommage, je voulais bien lire...mais 10 ou 15 vidéos sur un poste..c'est trop pour un pc complètement has been..le manque du mémoire.dommage.mais on aime bien ses écritures. ça c'est sûr.)

lord spenser va porter plainte contre vous.

lord spenser n'est pas un bisounours. il va porter plainte contre les gens qui l'ont traité ainsi. selon un ami, lord spenser est plutôt un "kawaïours". mais moi, je pense qu'il est avant tout de même un intellectuours.

"I'm the greatest individual that i have ever met!"( un titre de chanson dans "sweet charity." j'aime beaucoup entendre ce numéro.ça me fait du bien quand je me sens pas bien.ça monte mon moral.)

avant, je n'ai pas aimé la version cinéma de " sweet charity". car j'ai beaucoup aimé la originale version au théâtre ( avec gwen verdon). j'ai vu seulement certains extrait dans une emission américaine quand j'étais au japon. mais ce qui m'a frappé dans l'original, c'était l'utilisation de l'espace ( très fermée) et le décor  très limité. et il a créé plus de choses à partir de ce contraint ( ou la parti pris). mais quand j'ai revu le film et l'entretient(qu'on peut trouver dans le bonus du dvd) avec bob fosse à propos du film,  je me suis rendue compte que j'avais tort. ce qui est incroyable, c'est qu'il savait parfaitement ce qui est filmique et non filmique. du coup, ce film n'est plus un théâtre filmé, mais ceci est un vrai film de comédie musicale du cinéma.

sevens senners. (ou méfiez vous des cow boys et ses co. )

" I'm not your fuckin' drummer! YOU are my fuckin' singer!" cette esprit là, ça se trouve dans cette scène(sauf que c'est elle la chanteuse au lieu d'être drummer.). c'est ce que j'ai envie de crier de temps en temps devant certains gens. 

I can't give you anything but love.

ella est toujours ma préférée.

I can't give you anything but love.

si vous me proposez un verre de jeu de raisin (sic), je en serais ravie. (adieu, amy la grande.)

j'ai vu " sevens sinners" aujourd' hui chez christine. j'ai beaucoup aimé le film, surtout cette scène. la personne avec qui j'ai vu ce film, il a trouvé ce film légèrement ( tous les films américains de l'époque aussi) raciste. il trouve que les asiatiques sont comme les décors, et les blancs toujours au premiers plans. je ne pense pas qu'il  ait tort. c'est ce que je ressent souvent dans les films hollywoodiennes (non seulement car il y a des films français qui sont un peu comme ça aussi.) de l'époque (et jusqu'à aujourd'hui.) mais pour ce film, je n'ai pas trop ressenti ce genre de racisme. ( l'exotisme, oui terriblement.) par exemple, quand marlene chante dans cette scène, il y a un plan sur les enfants qui chantent inocemment avec elle. je pense que c'est quelque chose. et en plus, dans la bateau, elle est avec ces pauvres asiatques(le niveau de couche social égale à l'étage différent du bateaux avant qu'on voit cette représentation dans un film de fellini), non pas avec les blancs riches comme la fille de gouverneur qui lui jette l'argent sans rien réfléchir sur la fierté de marlene.

cette scène me fait quelque chose. ce personnage de marlene est plus touchante que jamais.

en tout cas, si vous me proposez un verre de jeu de raisin (sic), je en serais ravie.

I can't give you anything but love.

"Dans la vie, l'essentiel est de porter sur tout des jugements a priori. Il apparaît en effet que les masses ont tort, et les individus toujours raison. Il faut se garder d'en déduire des règles de conduite; elles ne doivent pas avoir besoin d'être formulées pour qu'on les suive. Il y a seulement deux choses: c'est l'amour de toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington”

une journée sans vin, c'est comme une journée sans soleil.

cela dit, " une semaine sans claquette, c'est la semaine sans soleil." comme disait pasteur à propos du vin. en plus, il fait vachement moche cette semaine. tant pis, allons au cinéma.

rita et fred

nous avons appris ces pas là!

bien sûr, matrine ( not aubry) a simplifié beaucoup pour notre niveau. ( nous, quand on danse, cela dure trois fois plus de temps en total.)

ça fait plaisir de retrouver sur youtube, la chorégraphie qu'on a appris! je peux danser ça! ( dans la version simplifiée!)

après avoir vu " how to steal million dollars."

ce soir, je suis amoureuse de peter o'toole. et quant à mon ami lui aussi, il est amoureux de peter o'toole ce soir.il est trop beau peter o'toole.

beau

insolite et beau.

dans "l'étudiante", vincent lindon est formidable. il  est vraiment bien dans son personnage tantôt louche, tantôt innocent et tantôt très doux. moi, je pensé à james cagney.

allons voir " pather"

"mais j'espère que alain cavalier serait d'accord avec moi."


car il a un goût funky et punk. 

un ami intello m'a demandé: " je ne savais pas que vous étiez très fan de vincent lindon. mais depuis quand?je ne le savais pas."

alors j'ai répondu: " ben, depuis qu'il a joué dans des films de benoît jacquot."

non. ce n'est pas vrai.
(enfin, ce n'est pas tout à fait faux. de toute façon, j'aime voir vincent lindon dans les films de jacquot.et il va de soi de dire que j'aime beaucoup benoît jacquot.)

voici la vraie réponse que je n'ai pas osé dire à ce cinéphile intello qui écrivait dans les cahiers autrefois:
"depuis que je l'ai découvert dans " l'étudiante"."

mais j'espère que alain cavalier serait d'accord avec moi.

j'ai vu des messieurs hétéos qui sont venus assister au gay pride uniquement pour mater et photographier les filles (de plus ou moins)dénudés.

"mu" = vide

ozu est un grand artiste. il a eu un grand prix artistique par le ministère de la culture grâce à son film " l'herbe flottante". à l'année suivante, il a fait un film totalement fou où les enfants qui pètent tout le temps. si ce n'est pas un grand artiste, ce serait quoi alors?

si je me tais, ce n'est pas parce que je suis triste que daniel craig  se soit marié avec rachel weisz à mon insu sans mon accord. (j'aime bien cette actrice, alors j'ai rien à dire.)

il y a beaucoup de forme de tristesse,  de misère, et de solitude dans la vie. et rien est comparable.( sinon ce ne serait ni la tristesse, ni la misère; ni la solitude.)

je n'ai pas de permis.

j'ai trouvé que la pub de peugeot qui a donné l'hommage à peter fork était douce, triste et touchante.