lundi 5 septembre 2011

monsieur le président, je vous fais une lettre..

 aujourd'hui j'ai revu vincent lindon! il était en train de faire un sport national (lol).président oblige.

dimanche 4 septembre 2011

il y a des choses que j'ai envie de m'exprimer avec mon propre mot. mais je n'ai pas de courage de dire quelque chose devant quelqu'un comme le genre " la fille de mon patron". par le respect pour cette personne ou par la peur d'être viré par mon parton que je ne dis rien. mais juste un mot: ce n'est pas logique de demander la présence de quelqu'un alors que vous avez vous même nié et supprimé sa présence depuis des années. c'est trop demandé. je ne veux pas qu'on pense que je suis une folle.la plupart des temps, il y a toujours la cause et la conséquence. il n'y a pas que la conséquence. voilà, c'est tout que je peux dire pour le moment.


je me suis trompée.

j'ai écris il y a une semaine: 


de tout façon, truffaut a nié ozu quand il l'a découvert pour la première fois. " demy et resnais étaient fascinés mais pas moi". mais il a changé d'avis bien plus tard. (lol):" je me suis trompé.."




en fait, ce n'était pas demy, mais c'était rivette qui est allé voir les ozu chques soirs. j'ai relu le bouquin de yamada ( critique japonais des cahiers des années 60) hier soir, et c'est rivette lui même qui a dit à yamada: " ozu est mal reçu (on est dans les 60's), mais resnais et moi, nous sommes allés voir ses films tous les jours." 


et truffaut a dit à l'époque: " tous les plans sont morts dans les films d'ozu". mais quand ozu a été revu et bien accueilli par les cinéphiles parisiens dans les années 70 ou 80, il a admets ses fautes. 


en tous cas, je m'excuse pour rivette. en fait c'était lui qui était un des grands fan de ozu. 

vous pouvez être envieuse de moi.

 ce n'est pas ce soir, mais j'ai vu rivette à la cinémathèque. il était là entant que spectateur.
il est venu voir un film de B.edwards.
j'ai vu rivette. n'est-ce pas merveilleux?