lundi 27 juin 2011

"le film ( ou la séquence) qui a traumatisé dans votre enfance?"

ce n'était pas les films qui m'a fait peur, mais la réalité qui m'a entourré. la mort des proches. ramasser l'os de ces proches après avoir brûlé leur corps(j'aimerais bien abolir cette tradition.je trouve cela horrible surtout pour les enfants). à la même année, c'était la première fois que j'ai pris l'avion( sans mes parents en plus) et j'ai passé trois mois sans mes parents. à cet été là, un grand accident de l'avion au japon. je le regardais seule (oui, même si c'était avec une des familles maternelle.ils étaient" les autres".) ma mère est venue me chercher. un soir j'ai dis à ma mère que je ne veux plus prendre l'âge et j'ai pleuré. j'avais 6 ans.

comme on est rarement allé au cinéma, c'est plutôt la réalité qui m'a fait peur. mais je pense même aujourd'hui que c'est la réalité qui est plus traumatisante que les images.

encore une petite choses.
j'ai parlé de mon mal de vivre il y a quelque jours. j'ai écrits que j'étais toujours dans la marge. mais pendant longtemps, je ne savais pas m'exprimer pourquoi je me sentais mal. quand j'ai vu les films de fritz lang bien plus tard( j'étais déjà adulte), j'ai enfin bien compris l'origin de ma douleur. je n'aime pas l'hytérie collectif. je ne parle pas de plaisir collectif de la danse ou de la musique.ne confondez pas non plus avec la solidarité. non, ce n'est pas la même chose. ( si vous voyez les lang, vous pouvez comprendre ce que j'essaie d'expliquer) mais par exemple, j'ai l'horreur de voir que les collectivité pourchasse un individu. même si cet individu est un criminel, même si l'idée de la collectivité a totalement raison, pour moi, ça ouvre d'autre dimension. à ce moment là, je ne veux pas être dedans. vous pouvez me dire que je suis égoïste et trop individualiste, mais je ne peux pas changer mon unique maxime non plus. chacun a sa raison. vous avez votre raison. et moi , la mienne(" il y a trois façon. la bonne, la mauvaise et la mienne." oui, je pense que c'est ça").tant que la contexte ( que ce soit sociale ou personnelle) me permets, je ne préfère pas être dedans. je répète, je ne nie pas le sentiment de solidarité. c'est d'autre chose. avec mon blog, je ne veux pas obliger à quelqu'un d'avoir le même idée que moi. (même si je veux que "la descrimination" (qui vient justement de cette follie collective)concernant ma vie soit réglée.)et si vous ne voulez pas le lire, ne lisez pas.  il ne vaut pas que vous le lisiez. c'est la perte du temps.je n'écris surtout pas pour vous et vous mettre en colère. je ne suis pas là en espèrant devenir quelqu'un d'important. je ne suis pas là pour mettre le feu dans l'huile. je ne charche pas du tout à lancer le sujet de plèmique. je ne suis pas une journaliste formé. j'ai filmé des choses un peu surréaliste autrefois. j'ecris ce que je pense dans un petit blog sans être payé. et c'est tout.