jeudi 17 mars 2011

would you like a cup of tea? which one? french tea or the independent's tuméno aka tea?

" mais pas de chance pour fukushima. ce qui avait ruiné le sythème soviétique menace de ruiner à son tour celui qui en a triomphé. ce qui avait annonce fukushima, en effet, ce n'est pas la victoire, mais la condamnation d'un capitalisme de l'hyèperconsommation et de l'hypertechinicité"

j'imagine bien que vous ou votre parents avez le cerveau très 68. et j'en suis désolée que vous ne soyez pas capable de dire autrement sur cette tragédie qui se passe en ce moment même. mais vous avez le droit d'en aborder ainsi et au fond vous avez très bien raison(moi même je suis contre le nucléaire), mais j'en suis désolée pour vous.

" espérons qu'il restera des hommes pour profiter de la leçon"

nous, les japonais, nous sommes là. on n'est pas mort. ne nous considérez pas comme un pays déjà mort. ce pays n'est pas mort! ceux qui vont profiter de cette leçon, ce serait nous, mais sûrement pas vous.

si vous êtes écolo, je peux vous donner une leçon. contrairement à ce qu'on dit, il vaut mieux prendre le bain au lieu de se doucher. on utilise moins d'eau finalement; c'est la sagesse japonaise très tradionnelle. ( mais ne changez pas d'eau à chaque fois et à chaque utilisateur. gardons de l'eau car c'est propre!)

l'idée de faire parler les écrivains dans un journal, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. ils ne sont pas des journaliste. normalement les écrivaints sont plutôt doués de parler des choses en imparfait (ou en passé)mais pas en présent. s'il sont capable de parler de ce qui se passe en ce moment(le temps qu'on respire), il vaut mieux les appeler comme " journaliste".  les écrivains peuvent tuer un pays alors qu'il existe ( quand même ) toujours. c'est pas la peine de raconter des actualistés en imparfait ou passé simple puisque il se passe quelque chose même là en présent. 

( cela ne vaut pas dire que je n'ai pas d'admiraton pour le métier de l'écrivain.)

mais pourquoi aucun écrivain ne parle de jeu vidéo? un mépris? olivier seguret, come back please!